Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre arrondie au milieu de son usine. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, laissant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une souffle lente, une routine apparue d’un acte ancestral répété sans arrêt. https://peters099nev8.therainblog.com/33122162/la-matière-qui-corresppond