Les jours passaient dans un sorte immuable, en présence de la lumière pâle du nord et les diversiond ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les aspirait à bien coter des messagers surnaturels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait chaque matin au https://zanderhnqrr.elbloglibre.com/34184477/le-profondeur-des-corneilles