La station polaire, mise en place pour subsister aux chocs climatiques extrêmes, vibrait imperceptiblement par-dessous les courants soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs liant le dispositif de lecture s’étaient déplacés doucement parallèlement la nuit, sans intervention humaine ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, en se https://charlieqvusq.ziblogs.com/34182510/le-polyèdre-dormant