Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du appellation d’Orhan découvrit quoi que ce soit singulier parmi ses modernes acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en bois, obscur et adroitement sculpté, décoré de motifs indéchiffrables qui semblaient danser sous la luminosité des lampes à huile. Aucun souvenir https://emiliogyipw.eedblog.com/33958010/l-éclipse-des-chroniques