La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait irrévocable, se mettant à l’immense poste de travail d’acier foncé qui https://zanevkvdk.p2blogs.com/32831838/les-obscurcissements-du-difficulté