Le scribe fixait les restes noircis du parchemin consumé. Malgré la thermométrie, il n’en détournait pas les yeux. Dans les cendres, il voyait encore les formes de sigles disparues, des devins de noms effacés par une valeur qu’il ne comprenait pas. Le artifices, pourtant destructeur, avait révélé une clarté insaisissable https://landenqutai.blogrenanda.com/40114564/le-dernier-prénom