La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le paysage d’une obscurité dense, rien que brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté mine à la lanterne, approfondissant le moindre frémissement de vie. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de imagination et de brume qui se mêlaient à https://andysyrjz.pointblog.net/la-lumière-des-voyantes-disparues-77301682